Rougemont (Côte-d'Or)

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Rougemont
Rougemont (Côte-d'Or)
Maison médiévale du bourg
par Eugène Viollet-le-Duc.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Montbard
Intercommunalité CC du Montbardois
Maire
Mandat
Christelle Prin-Kaehrling
2023-2026
Code postal 21500
Code commune 21530
Démographie
Population
municipale
143 hab. (2021 en diminution de 11,73 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 09″ nord, 4° 14′ 43″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 332 m
Superficie 9,52 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montbard
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montbard
Législatives 4e circonscription de la Côte-d'Or
Localisation
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Rougemont
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Rougemont
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Rougemont

Rougemont est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans le Montbardois en Côte-d'Or et est limitrophe de L'Yonne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Perrigny-sur-Armançon, Arrans, Asnières-en-Montagne, Buffon, Quincy-le-Vicomte et Aisy-sur-Armançon.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 9,52 km2 ; son altitude varie de 192 à 332 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

Le sud-ouest de la commune est limité par l'Armançon et le Canal de Bourgogne, traversé par deux pont routier sur une écluse et des ponts autonomes[2],[3],[4],[5].

L'Armançon est un affluent important de l'Yonne, dans le bassin collecteur de la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montbard_sapc », sur la commune de Montbard à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 853,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rougemont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbard, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,7 %), terres arables (32,6 %), prairies (8,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 107, alors qu'il était de 116 en 2015 et de 108 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 66,6 % étaient des résidences principales, 21,4 % des résidences secondaires et 12,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,8 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Rougemont en 2020 en comparaison avec celle de la Côte-d'Or et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (21,4 %) supérieure à celle du département (5,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Rougemont en 2020.
Typologie Rougemont[I 2] Côte-d'Or[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 66,6 85,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 21,4 5,6 9,7
Logements vacants (en %) 12,1 8,5 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par l'ancienne route nationale 5 (actuelle RD 905).

La ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles passe sur la rive opposée de l'Armançon et la gare d'Aisy était desservie avant sa& fermeture. La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Nuits-sous-Ravières, desservie > par des trains TER Bourgogne-Franche-Comté qui effectuent des missions entre les gares de Dijon-Ville, Laroche - Migennes ou Auxerre-Saint-Gervais, les gares de Dijon-Ville, Lyon Part-Dieu ou Lyon-Perrache et Paris-Bercy, ainsi que par des trains TER de la liaison Lyon Part-Dieu ou Lyon-Perrache à Paris-Bercy.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Ancienne abbaye de femmes, de l'ordre de Saint-Benoît, sous le vocable de Notre-Dame, dépendant de l'abbaye Saint-Jean-de-Réome à Moutiers-Saint-Jean, transférée à Dijon en 1673, et dite ensuite abbaye de Saint-Julien de Rougemont, à cause de l'union du prieuré de Saint-Julien-sur-Dheune (Saône-et-Loire). Outre l'abbaye, il y avait à Rougement une seigneurie laïque, avec château fort, et une Maison-Dieu[18].

Le village abrite une église du XIIIe siècle, sous le vocable de la Nativité de la Sainte-Vierge, qui a été le siège d'une cure du diocèse de Langres, doyenné de Moutiers-Saint-Jean, à la collation de l'évêque depuis la réunion de la mense abbatiale de Moutiers-Saint-Jean à son évêché (1731)[18], et classée monument historique en 1912[19]. Il subsiste également une tour fortifiée et des maisons des XIIIe siècle-XIVe siècle toutes habitées.

À environ un kilomètre au sud-est du village, par le chemin dit « de la tour », menant de Rougemont à Buffon (Côte-d'Or), se trouvent les ruines d'un donjon roman de l'ancien château fort, qui surplombent la vallée de l'Armançon et le canal de Bourgogne.

Au Moyen Âge, cette localité était beaucoup plus grande. La seigneurie était partagée entre l'abbesse de Rougemont et un seigneur laïc[18]. Les épidémies de peste et de choléra auraient décimé la population. À l'origine cette ville devait s'appeler Mont-Rouge.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Un établissement métallurgique est situé de part et d'autre de l'Armençon, dont la création daterait du XVIe siècle ou du milieu du XVIIe siècle. Les seigneurs et comtes de Rochefort en sont propriétaires et les exploitent en faire-valoir indirect[20]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La section passant à Rougemont du Canal de Bourgogne a été mise en service en 1828 et mise au gabarit Freycinet vers 1879[21]. Un port d'eau est aménagé au début des années 1850[22].

Les installations métallurgiques, qui apparftiennent à la famille de La Guche, sont agrandis à la fin des années 1820 pour tenir compte des modifications apportées par la création du canal. L'usine cesse son activité au milieu du XIXe siècle, après avoir été intégrée à la "société des forges de Châtillon et Commentry", ancêtre du groupe ArcelorMittal[20]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Montbard du département de la Côte-d'Or.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Montbard[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Montbard porté de 28 à 57 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Côte-d'Or.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Rougemont est membre de la communauté de communes du Montbardois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    André Magnant[Note 3]   Ancien prisonnier de guerre 1940-1945
         
mars 2001 juin 2007 Léon Bacchieri   Mort en fonction
juillet 2007 mars 2014 Jean-Michel Rogosinski[23]    
avril 2014 mai 2020 Michel Capdevielle-Père    
mai 2020[24] printemps 2023 Roland Leconte[25]   Retraité de direction aux postes aux armées
Démissionnaire
juin 2023[26] En cours
(au 30 novembre 2023)
Christelle Prin-Kaehrling   Employée civile ou agent de service de la fonction publique

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 143 habitants[Note 4], en diminution de 11,73 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
434336340321384370391387339
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
335339323340348304291344348
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
323319267310274268216244244
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
223192167158170174170176164
2019 2021 - - - - - - -
149143-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église de la Nativité de Rougemont Logo monument historique Classé MH (1912), ancienne église abbatiale Notre-Dame, devenue paroissiale. Elle date du XIIIe siècle[30] et contient un retable dédié à Saint-Nicolas du XVIe siècle restauré en 2020[31].
  • Maisons ancienne dans le village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. André Magnant, maire du village durant plusieurs décennies, ancien prisonnier de guerre 1940-1945, a entrepris d'importants travaux durant la seconde moitié du XXe siècle, notamment l'adduction d'eau du village au début des années 1960.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Pont routier sur l'écluse 71 du versant Yonne (canal de Bourgogne) », notice no IA21003948, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  3. « Pont routier sur l'écluse 70 du versant Yonne (canal de Bourgogne) », notice no IA21003943, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  4. « Pont routier isolé (canal de Bourgogne) », notice no IA21003944, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  5. « Pont routier isolé (canal de Bourgogne) », notice no IA21003945, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Rougemont et Montbard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Montbard_sapc », sur la commune de Montbard - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Montbard_sapc », sur la commune de Montbard - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. a b et c Roserot (Alphonse), Dictionnaire topographique du département de la Côte d’Or, 1924, p. 332 lire en ligne sur Gallica.
  19. Classement par arrêté du 2 mai 1912. Voir photographies dans la base Mérimée (Ministère de la Culture): notice et liste des illustrations
  20. a et b « Forge, dite forge d'Aisy (activités liées au canal de Bourgogne) », notice no IA89001060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. « Site de l'écluse 71 du versant Yonne, dite d'Aisy (canal de Bourgogne) », notice no IA21003947, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. « Gare d'eau ; port de Rougemont (canal de Bourgogne) », notice no IA21003946, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. « ROGOSINSKI Jean-Michel », Fiche personnalité, sur https://www.bienpublic.com/ (consulté le ).
  24. « Rougemont : Roland Leconte élu maire », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Rougemont : le maire est le doyen des élus de l’intercommunalité : Élu maire de Rougemont, commune de 159 habitants, depuis le 18 mai, Roland Leconte, 89 ans, est le doyen des maires de la communauté de communes du Montbardois. Rencontre », Le Bien public,‎ 1/11/2020 mis à jour le 2/11/2020 (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  26. Astrid Gayet, « Christelle Prin-Kaehrling est le nouveau maire du village : Depuis lundi 26 juin, le village de Rougemont, dans le Montbardois a un nouveau maire. C’est Christelle Prin-Kaehrling, jusqu’à présent première adjointe, qui a été élue à la tête du village », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Église Notre-Dame de la Nativité », sur https://bourgognemedievale.com/ (consulté le ).
  31. Dominique Ragot, « Rougemont : le retable de Saint-Nicolas inauguré : Samedi 26 septembre, Françoise Auger Feige, conservatrice-restauratrice, a inauguré le retable de Saint-Nicolas dans l’église Notre-Dame de Rougemont en présence d’une vingtaine de personnes, dont de nombreux élus. Il s’agit d’une œuvre exceptionnelle à bien des égards », Le Bien public,‎ 28/9/2020 mis à jour le 29/9/2020 (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  32. « Vestiges du château féodal », notice no PA21000005, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Rougemont : Ancien château féodal », sur http://www.bourgogneromane.com (consulté le ).
  34. « Le Canal de Bourgogne : Dijon à Rougemont », L’itinérance en Côte-d’Or Les itinéraires pédestres, vélo… en Côte-d’Or, sur https://www.lacotedorjadore.com/ (consulté le ).